Alec Monopoly, 612K sur Instagram et bien plus d’accros dans le monde !
- Lina Merniz
- 1 janv. 2018
- 1 min de lecture

En ce moment à Miami se déroule Art Basel, l’un des plus grands événements au monde dans le domaine de l’art de l’année. Comment passer à côté du nouvelle artiste en vogue, Alec Monopoly de son vrai nom Alec Andon, originaire de New York.

Son signe distinctif ? Personne n’a encore vu son visage, il est toujours camouflé d’un bandana. De plus on reconnait ses créations parmi tant d’autre grâce au personnage du Monopoly qu’on retrouve dans la plupart de ses créations. Vous l’aurez compris s’est un artiste de street-art.
Sa marque de fabrique ? Il s’est fait connaitre par ses graffitis. Il débuta durant la crise des subprimes en mettant en scène dans ses tags les banquiers sous toutes leurs formes et dans toutes les situations, avec ironie bien sûre comme crucifié à une croix ou est écrit Wall-street. Grâce à son humour et ses œuvres très colorés, il se fait très vite remarqué. Son souhait est de critiquer la hiérarchie capitaliste. Ironie du sort, aujourd’hui ses œuvres se vendent à des prix
exorbitant. A contrario, il dessine toujours sur les murs pour offrir à tout le monde le plaisir de contempler ses œuvres.
Son rôle avec les marques ? Il est le « brand ambassador » de la marque de luxe d’horlogerie TAG HEUER, en effet on retrouve le logo de la marque dans multiples œuvres qui ont vu le jour au Miami Art Basel l’année dernière.
Cette année, il crée l’évènement avec …. Philip Plein !!! Dans le milieu il est décrit comme « art provocator », quoi dire de plus mise à part que les stars se l’arrachent ?

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